Libellés

Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

jeudi, octobre 19, 2006

LES LIVRES




Écrit par Richard de Bury en l’an treize cents trente-quatre, plus de cent ans avant l'invention de l'imprimerie et plus tard publié dans en mille quatre cents soixante-quatorze.

"LIVRES"
CEUX-CI sont les maîtres qui nous instruisent sans châtiment, sans mots durs et colère, sans vêtements et argent. Si vous vous approchez d'eux, ils ne sont pas endormis; si en cherchant vous les interrogez, ils ne cachent rien; si vous les confondez, ils ne bougonnent jamais; si vous êtes ignorants, ils ne peuvent pas rire de vous. La bibliothèque, donc, de sagesse est plus précieuse que toute la richesse et rien que l'on peut souhaiter pour n’est digne d'être comparé avec elle. Quiconque reconnaît donc qu’il est un disciple ardent de la vérité, du bonheur, de la sagesse, de la science, ou même de la foi, doit de la nécessité se faire un amant des livres.

mardi, octobre 17, 2006

LA NOUVELLE POLICE SECRÈTE DU CANADA


Photo du Toronto Sun du 14 août 1994.

Nous alertons des Canadiens de l'allure de du comportement de leur nouvelle police secrète, l'équipe spéciale de secours, l'équivalent du MJFT, la police secrète antiterroriste aux Etats-Unis. Et les forces canadiennes et américaines sont directement sous la juridiction des Nations unies. Un grand nombre des membres de ces forces vient de l'étranger. Remarquez la couleur bleue qu'ils portent: elle n'indique rien de moins qu'une brigade spéciale d'intervention de l'ONU, partout, sur la rue Main, de Danforth ici à Toronto.

L'objet de ces photographies, comme avec celles du «Edmonton Sun», est d'habituer le public à voir de telles forces étrangères dans nos villages et villes. Presque toujours ils sont appelés sur une fausse alarme. Mais on les a vus et photographiés. Nous sommes profondément reconnaissants à Trish Hickey et au Toronto Sun de nous avoir permis de les publier. Le titre à la photographie se lit commu suit: «CHECK MATE». Ce qui se traduit par: échec et mat. C'est un jeu de mots avec «check» qui veut dire aussi: chèque. Voici le texte:

«Les membres de l'Équipe spéciale de secours entourent le gérant d'un salon de certification de chèques sur l'avenu Dandoreth, près de la rue Main, hier. Ce que l'on pensait être un incident d'arme à feu s'est avéré être une fausse alarme», dit l'histoire.

«Une vérification policière a rebondi, après le gérant d'un salon de certification de chèques eut appelé le 911, pour se précipiter et le sauver d'un ex-employé maniant une arme à feu.

Mais après que des officiers de l'équipe spéciale lourdement armés de Secours de Secours eurent encerclé le magasin de l'avenu Danforth, près de la rue Main à dix heures quarante minutes du matin hier, et le suspect féminin et le gérant ont apparu, mais sans une arme à feu.

«Il n'y avait aucune arme à feu», a dit le sergent Bob Eberle. «Nous avions entendu dire qu'elle avait une arme à feu et c'est pourquoi nous avons été appelés», a dit Eberle.

Il a dit que plus tôt dans la journée le propriétaire avait appelé l'ancienne employée non identifiée de quarante ans, de venir le voir pour véfifier si des fonds avaient disparus.

«Quand elle est arrivée, elle a dit à son patron qu'elle avait pris les fonds, donc il a appelé 911», a dit la police.
Cela a provoqué un immense embouteillage le long de Danforth pendant quarante-cinq minutes et des centaines de clients ont été paralysés en chemin parce que plus de dix policiers se préparaient pour ce qui semblait être un vol à main armée.


Mais à onze heures et six minutes du matin, une femme blonde avec des cheveux longs aux épaules portant une chemise bleue foncée et des jeans bleus est sortie du magasin avec les mains levées derrière la tête.
Quelques minutes plus tard, le propriétaire est sorti avec les mains sur la tête et tous les deux ont été amenés dans des voitures séparées.


Les deux ont été questionnés et relâchés.

La police a dit que le propriétaire peut porter plainte contre la femme s'il le voulait.»
Un de ces jours ces garçons vont apparaître et cela ne sera pas une fausse alarme. Comment des armes à feu domestiques peuvent-elles nous défendre contre ces armes sophistiquées? Non, quatre-vingt-dix-sept virgule sept pour cent des Canadiens qui ne sont pas impliqués dans ce Plan de livrer notre pays à une DICTATURE D'ÉTAT MONDIAL doivent trouver une autre solution. Écrivez-nous.

MARIE MALAVOY, LA MINISTRE DE LA DICTION PÉQUISTE

Marie Malavoy, la nouvelle ancienne député péquiste qui parle comme Molière, dans son discours de bienvenue à l’Assemblée nationale du Québec, a dit: «les électeurs en avaient décider ainsi.». C’est-à-dire qu’elle a mis un beau gros «R» là où il n’y en pas dans son discours. Je ne sais pas si c’est un problème de diction ou de grammaire, mais pour une femme qui pique de bien parler le français, c’est plutôt hilarant.

BOB RAE ET LA LUTTE POUR le CONTRÔLE DE LA POLICE DE TORONTO



À gauche, reproduction de «Cri de guerre», de Kevin W. Ferguson (Barrie, Ontario), à motifs dans le style de l'art indien canadien et utilisant une technique «intarsia» développée dans la Renaissance italienne. Unique au Canada.

À droite, caricature montrant Rae et Dudley Laws, membre fondateur du Comité d'action de la défense des Noirs. Dans la même publication du Toronto Sun (8 octobre l994), Jeff Harder écrit: «Le Comité d'action de la défense des Noirs qui détestent les flics est financé par le gouvernement provincial».

La même vieille tactique marxiste (une poussée d'en haut, une poussée d’en bas) est employée dans la nouvelle lutte de l'ordre du monde pour prendre le contrôle de la police de la municipalité de la communauté urbaine de Toronto. Nous attirons votre attention sur l'éditorial qui a apparu à la page dix du Toronto Sun du huit octobre mille neuf cent quatre-vingt-quatorze:


«Dit simplement, nous voulons BilI McCormack. Bien sûr qu’il doit rester le chef de la police de la communauté urbaine de Toronto, s'il le veut.


Il a été un bon chef. Il doit rester pendant encore quatre années jusqu'à sa retraite normale à soixante-cinq ans. Au moins il doit rester pendant deux ans avant jusqu’à ce que l'incertitude politique en Ontario et au Conseil de Toronto disparaisse.


Coupons court. Il est clair que Susan Eng, qui était le choix personnel du Premier ministre Bob Rae comme président du conseil du service de police, essaye de circonvenir le choix du chef suivant comme un de ses derniers actes en tant que président.»


Dans la même publication, l’article suivant disait: «Mercredi [le treize octobre] est le jour J pour le chef Bill McCormack. Dans une entrevue franche hier, le flic supérieur expérimenté de Toronto a dit que c'est le jour qu'il annoncera ses intentions de prendre sa retraite.» Toronto Sun (le sept octobre mille neuf cent quatre-vingt quatorze) écrit:
«Des policiers peu marquants ont joint la campagne pressant le chef Bill McCormack de rester comme le flic supérieur de Toronto.


Une pétition demandant à McCormack de rester comme le chef de la police de Toronto pour au moins un an, ou jusqu'à ce que la stabilité politique soit revenue a été postée dans toutes les stations de la division hier.


Les officiers de service contactés par le Sun hier dans la nuit ont dit que la réponse du personnel et en uniforme et en civil dans le département de 7 900 membres à 100 % derrière le chef. »


Mais les sources ont aussi dit que l'on était entré en contact avec le personnel de divers postes de police hier et pour les informer que le président des services de police Susan Eng était outragée par la pétition des flics qui font campagne et qu’elle veut que cela cesse.


Le membre du conseil, Gardner, a dit qu'il ne serait pas étonné si Eng s’agitait sur les actions des simples soldats et gradés. «Cela va contre sa stratégie d’avoir la date de retraite officielle du chef dans la main ce mois-ci», a dit Gardner.


Plus tard (Toronto Star, le huit novembre mille neuf cent quatre-vingt-quatorze), le ministère de la Justice de l'Ontario a nié que cela «crée un système légal séparé pour les Noirs, mais il a confirmé qu'il considère détourner les Noirs accusés de délits loin des cours». Le Star annonce que Michel Leshner, un avocat de la couronne opposé à une déviation pour les Noirs, a dit que la nouvelle proposition diffère de ce qui existe déjà . «Actuellement, vous regardez la nature de l'infraction, pas la couleur de la peau de quelqu'un», a dit Leshner. La race deviendrait une considération principale sous le changement proposé, «Et c'est dingue», a-t-il ajouré. La «race» Bob le sait_il? (En anglais, il fait un jeu de mot: «race» peut dire la race ou la course, Bob Rae étant en campagne électorale.)


En termes de stratégie que Rae poursuit, on se rappelle «Heartbreak House» de de Shaw: «Vous ne pouvez les corriger tant que vous ne pouvez pas les tuer. À présent ils ont le pouvoir de vous tuer. Il y a des millions de Noirs disponibles à être form pour les lâcher sur nous. Ils vont le faire. Ils le font déjà. Ils l'emploient. Nous gaspillons le meilleur de notre énergie chaque jour pour les pacifier. La connaissance que ces gens-là doivent rendre toutes nos aspirations stériles nous empêche d’avoir des aspirations.»

JACQUES PARIZEAU : TOUR DE TRANSMISSION DES ILLUMINATIOUR LES ILLUMINATI

Carucature de Jacques Parizeau comme Jacques l’éventreur.

De Jose Wallenius, Thunder Bay, Ontario

Pendant quelque temps elle avait seulement regardé la caricature dans la page de rédaction parce qu'elle savait que c'était la seule chose qui disait tout.

Le 18 septembre elle a vu le signal. C'était une image grande et très brute de Parizeau dépeint comme un lutteur, avec un petit homme à l'arrière-plan avec un noeud papillon soutenant une réclame sur laquelle est écrire: «Jack the Ripper» (Jacques l’éventreur). Elle savait ce que cela signifiait parce qu'elle avait lu le dernier livre de Jacques l’éventreur qui avait été publié après que certains rapports secrets avaient été sortis en 1992 en Angleterre.


Cela était un autre livre paravent des Illuminati, donc elle l'avait lu pour voir ce qui était vraiment caché. Le livre expliquait que le médecin de la Reine, Gull, avait participé aux meurtres et une preuve de ses liens maçonniques avait été dépeinte dans une photo d'une peinture d'une opération à l'hôpital où Gull pratiquait, les entrailles du patient traînant de la même faaçon que celles des prostituées.

Elle savait déjà que le service postal britannique du dix-neuvième siècle qui faisait trois livraisons par jour, avait été fondé simplement comme un moyens bon marché de transmettre des messages à la ville avant que le téléphone n’ait été inventé: quand le livre déclarait que les nouvelles des épouvantable meurtres avaient été transmises immédiatement dans le monde entier par le télégraphe, elle s’est tenue sur ses gardes.
Elle a analysé ceci.


Une des femmes avait eu un enfant du prince et ils s'étaient mariés. Quand la Reine en a entendu parler, elle a sorti le prince loin de sa cachette pour le ramener au Palais. La femme et ses amis avaient organisé un cercle de chantage pour faire chanter la royauté à propos de l'enfant. La Reine (ou quelqu'un d'autre, qui sait?) avait engagé Gull et sa cohortes pour se débarrasser des femmes.

Maintenant, s'ils avaient simplement voulu se débarrasser des femmes, pourquoi ne les auraient-ils pas simplement jetées du pont Blackfriars comme le faisaient d'autres gens et en finir avec cela?
Pourquoi le rituel maçonnique des meurtres?


Parce que les Illuminati aveint besoin d'un message envoyé dans le monde entier. Les nouvelles que les femmes avaient été trouvées mortes à la Tamise n'étaient pas assez pour être crédibles comme un message mondial. À cette époque, il était routinier de trouver des femmes morte dans la Tamise à Londres.

Les meurtres rituels avaient pour but d’envoyer un message bon marché par le télégraphe au reste des Illuminati et elle s'était promise qu'elle étudierait cette ère pour voir quels événements le message avait annoncé, mais les événements redoutables étaient si nombreux qu’elle ne pouvait pas les décoder.

Quand elle a vu la caricature de Parizeau comme Jacques l’éventreur, donc, elle est allée à son ordinateur et a commencé à supprimer ses fichiers.

- Supprimer les fichiers?
- Oui.
- Supprimer les fichiers?
- Oui.
- Supprimez les fichiers?
- Bejeasus, particulièrement celui-là.


Une heure plus tard, l’ordinateur était vide et elle l’a fermé.

CHRÉTIEN ET L’ÉQUIPE CANADA EN CHINE

En 1994, le Premier ministre Jean Chrétien mettait le cachet canadien sur l'entente qui avait été préparée, comme le disait un ami, «par les trois faire-valoir et la Commission trilatérale, il y a très longtemps». L'article écrit par Bob MacDonald a paru dans le T oronto Sun du 16 novembre 1994.

«Si c’était aux États-Unis, des commissions du congrès iraient probablement par tous les moyens examiner les nominations et les possibles conflits d'intérêt impliquant le Premier ministre Jean Chrétien.

Il y a un an, le chef de l'opposition libéral Chrétien a fait campagne avec succès contre ae baraka politique dans un gouvernement conservateur au pouvoir mené par le Québécois Brian Mulroney.

Ainsi quel était une des décisions primaires de Chrétien? Eh bien, il a nommé son neveu, Raymond Chrétien, au poste supérieur diplomatique du Canada comme ambassadeur aux Etats-Unis.

Pour ce faire, il a rappelé un ambassadeur qui avait occupé le poste pour seulement un an.
L’explication de Chrétien quant à la nomination de neveu Raymond: «Je suis très fier de lui; il est extrêmement bien respecté».


Chrétien, qui a passé des décennies comme un loyal béni-oui-oui dans les cabinets de Pierre Trudeau, ne semblait pas se soucier de ses voeux de nettoyer la bénédiction politique. Sur la scène politique du Québec d’où il vient, vous récompensez vos amis et accusez vos ennemis.

Cette année, un des projets supérieurs du gouvernement Chrétien était d’organiser et mener une mission commerciale coûteuse, énorme en Chine communiste. Appelé l'Équipe Canada, Chrétien a enrôlé neuf des dix premiers ministres (excluant le Québec).

Le «Canada-China Business Council» Canada a organisé le le voyage. Le chef du conseil se trouve par hasard à être André Desmarais, le président du géant Power Corporation de Montréal et le gendre de Chrétien.
La Power Corporation a été construit par le papa d’André, Paul Desmarais, ami et protecteur et de Pierre Trudeau et de Brian Mulroney. Power Corporation possède le journal montréalais La Presse et a une partie de l'intérêt de direction à Southam, une des plus grandes chaînes de presse du Canada. Et Power Corporation est aussi un grand investisseur dans les projets chinois.


Ainsi Chrétien a mené les premiers ministres, une armée de bureaucrates et trois cent cinquante hommes d'affaires en Chine et a annoncé plus de huit milliards de dollars dans des lettres d'intention et choses semblables dans des affaires avec les patrons de Beijing (Pékin). Mais il est apperu que moins de trois cent millions de dollars de contrats étaient signés.

Aussi, neveu André Desmarais et sa femme, France, ont voyagé sur l'avion de Chrétien's lors du voyage en Chine et sont restés aux mêmes hôtels. Quelques observateurs ont noté que dans des pays comme la Chine, des chefs politiques sont impressionnés par les hommes d'affaires qui ont des liaisons de près avec les patrons politiques.

Les journalistes voyageant avec Chrétien n’étaient pas pressés de poser des questions sur l'entente, mais quand ils l’ont finalement fait, un Premier ministre énervé a dit de Desmarais:
«Il reste avec ma fille et il paye ses billets. J’aimerais passer du temps avec ma fille et mon gendre.» Et Chrétien a souligné que Desmarais n'avait pas assisté aux réunions au plus haut niveau avec les chefs chinois.


On se demande de quoi Chrétien, sa fille et son gendre ont parlé pendant ces nombreux jours en Chine. De la température? De la soupe chinoise aux oeufs? De ne pas pouvoir voir le hockey de la LNH à la maison?
Ouais! si c'était le Président Bill Clinton dans une situation semblable, les comités du congrès américains demanderaient beaucoup de questions. Mais c'est le Canada.

LE CONTRE-ESPIONNAGE CANADIEN ET LA LUTTE POUR LE CONTRÔLE DE DE L’ONTARIO HYDRO

Presque au même moment où le service de contre-espionnage lançait son attaque sur les nouveaux contrôleurs du Nouvel Ordre Mondial à Hydro-Québec, une attaque semblable était lancée à Lima, au Pérou contre l'Ontario Hydro, qui est aussi contrôlée par le NOM. Le Toronto Star du 12 octobre 1994 décrit comment six tours de transmission de l’Ontario Hydro se faisaient sauter en vingt minutes par les guérilleros du Sentier Lumineux, la contrepartie de GEM STAR Canada:

L'investissement de l’Ontario Hydro au Lima, au Pérou, était frappé par une panne d'électricité après un attentat à la bombe, alimentant les revendications des critiques que l'investissement de soixante-quatorze millions de dollars dans les installations distributrices d’éctricité pourraient partir en fumée.

Six tours de transmission ont été détruites dans un attentat à la bombe à l'extérieur de Lima la semaine dernière, plongeant la capitale dans l'obscurité et forçant un rationnement d'électricité, a dit le critique conservateur de l'énergie, Leo Jordan.

En citant des sources de l'ambassade canadiennes au Pérou, Jordan a dit que quatre des tours terrassées étaient environ à cent kilomètres à l'est de Lima tandis que deux étaient près de la ville, au nord et au sud.
Toutes ont été détruites en vingt minutes et on croit les guérilleros maoïstes du Sentier Lumineux sont responsables.
Jordan a dit que le dynamitage prouve qu'Hydro a fait une erreur majeure en achetant la partie de la société péruvienne livrant l'électricité à Lima.


Le gouvernement et le président de l'Hydro, Maurice Strong, «avaient été dûment avertis que les attaques sur des entreprises de service public étaient banales», a-t-il dit dans un bulletin de nouvelles, ajoutant que le gouvernement doit maintenant comprendre «la fragilité de l'investissement d'Hydro».

Le ministre de l'Énergie, Bud Wildman, a demandé le mois dernier au Conseil de l'Énergie de l'Ontario d'examiner les dépenses internationales d'Hydro, particulièrement le risque associé aux investissements étrangers comme l'entreprise le Lima.

Les fonctionnaires d'Hydro étaient indisponibles pour commenter. L.P.

dimanche, octobre 15, 2006

LE CÔTÉ SOMBRE DU POUVOIR ÉLECTRIQUE

LE SERVICE CANADIEN DU RENSEIGNEMENT ET LA LUTTE POUR LE CONTRÔLE D'HYDRO-QUÉBEC

Je vais traiter d’événemens qui sont arrivés en 1994 et précédemment. Le temps présent se trouve à être 1994, pour que le texte soif plus vif.

Je vais mettre plusieurs articles à la suite qui traitent de choses pas trop jolies...

Les assassinat simultanés de ce qui semble être cinquante-cinq agents doubles du nouvel ordre mondial opérant au Canada et en Suisse et qui ont été largement annoncés dans la presse internationale cette semaine (le 6 octobre 1994 et après) représente pour nous un des plus audacieux accomplissement des services de renseignement des temps modernes. Ces cinquante-cinq assassinés étaient tous membres de l'Ordre du Temple Solaire au Canada et de l'Ordre du Temple Solaire en Suisse.

Le passage suivant, basé sur l'information livrée à notre porte le printemps dernier (1994), a été écrit en mai : «Et au Québec une société secrète appelée L'Ordre du Temple Solaire a infiltré Hydro-Québec avec une escroquerie de cent cinquate milliards dollars et s'en ait simplement emparée: à peu près toutes les réserves énormes du pouvoir électrique canadien étaient maintenant entre les mains du Nouvel Ordre Mondial . Nous avions négligé d'ajouter, à ce temps, quelque chose que Brad Chambellan nous avait dit le ou vers le onze février: que l'emblème de l'Ordre est sur les véhicules du contrôle routier du Québec.

Nous sommes en droit de demander si ces assassinats étaient le travail d'un groupe secret de patriotes canadiens ayant l'intention de reprendre le contrôle des ressources au Canada que le Nouvel Ordre Mondial avait usurpées, comme Hydro-Québec ou bien d'un groupe de patriotes canadiens agissant de concert avec un groupe international plus large, l'objectif dans les deux cas étant les mêmes?

Le dernier semble être vrai, parce que L'Ordre du Temple Solaire est basé sur les Templiers, «qui se sont battus dans les Croisades pour regagner la Terre Sainte des des mains des musulmans» (Toronto Star, le 8 octobre 1994). De nouveau nous sommes ramenés à Ottawa.

Dans la section sur «Ottawa: la capitale occulte du Nouvel Ordre Mondial», nous verrons qu'une fausse branche des templiers avait été fondée à Ottawa le 21 mars 1984, aussi différente des chevaliers originaux que la craie l'est du fromage. Tandis que la recherche des chevaliers originaux était la recherche la plus noble possible pour l'homme: «la recherche de son centre spirituel», la recherche des chevaliers reconstitués d'établir un ordre pour gouverner le monde est la recherche la plus ignoble qu'un homme puisse faire. Les rituels inventés à l'origine pour l'édification spirituelle sont changés complètement, tournés vers l'agrandissement personnel, le pouvoir matériel et le contrôle de la destiné d'autrui.

Radio-Canada identifie Joseph di Mambro, le cerveau derrière l'Ordre, comme étant impliqué dans le commerce international d'armes et que la secte a été employée comme un paravent pour un réseau complexe d'armes qui faisait passer des armes très puissantes par l'Australie et les pays du Tiers-Monde sur le marché noir international. (Toronto Star, le 8 octobre 1994).

Un rapport de la GRC déclarait que «Di Mambro était sous enquête pour le blanchissage de quatre-vingt-quinze millions de dollars et la plus grande partie du commerce était orchestrée à partir d'un appartement de luxe à Ottawa et par les branches de la Banque Royale et de la défunte Banque de Crédit et de Commerce dans la capitale. Les membres de la secte qui sont morts ont été «exécutés, dit le rapport, ou bien parce qu'ils en savaient trop ou bien c'était un règlement de compte».

Qui étaient les seuls motivés ou capables d'exécuter et de régler ses comptes avec les plus hauts officiers du Temple Solaire au Canada et en Suisse? Les rosicruciens internationaux qui avaient vu leurs traditions souillées par la création d'un faux Temple Solaire à Ottawa en mille neuf cent quatre-vingt-quatre? Cela semble être le cas en partie. Ce que nous savons c'est que le deuxième groupe que nous avons mentionné a joué un rôle, un rôle principal, presque toute la pièce et que ce groupe est un groupe non identifié de patriotes canadiens jusqu'à présent:

«The Canadian Golden Eagle Militia» (GEM STAR) (la milice canadienne de l'aigle royal). La «Canadian Golden Eagle Militia for Systems Targeted Armed Resistance» est, de source sûre, conçue pour annuler tous les mouvements vers l'État policier du gouvernement mondial, généralement appelé le Nouvel Ordre Mondial ou LES NATIONS UNIES. Ils réalisent cet objectif ou bien par des négociations militaires ou bien politiques. Leurs croyances sont (1) la liberté individuelle pour tous, comme le droit à un État souverain, (2) la liberté de religion, (3) le droit de posséder et de porter des armes à feu pour la chasse ou l'autodéfense, ou pour se défendre contre un gouvernement dictatorial enlevant les libertés individuelles, comme cela arrive maintenant au Canada et aux Etats-Unis.

GEM STAR est composée d'Anglais, de Français, de peuples autochtones et d'un grand contingent de personnel ex-militaire et de patriotes. Ce sont des Canadiens qui proviennent du Labrador à la Colombie Britannique. Ils sont appelés simplement les guerriers de l'arc-en-ciel, un terme qui provient de la connaissance indienne et de la Bible. Dans la Bible, l'arc-en-ciel symbolise qu'il n'y aurait jamais plus de déluge qui détruirait la terre. La même chose s'applique ici. La dernière grande bataille est sur le point d'avoir lieu: les guerriers de l'arc-en-ciel contre les forces des ténèbres.

Il y a un équivalent de GEM STAR aux Etats-Unis. La milice canadienne est forte de plus de cent mille membres. Un porte-parole déclare: «Les gouvernements de l'Amérique du Nord n'arrêteront devant rien pour établir un gouvernement mondial. GEM STAR et d'autres organisations secrètes alliées se battront par tous les moyens jusqu'à la dernière goutte de leur sang si nécessaire pour déjouer les plans des gouvernements. Vous devez comprendre qu'il n'y aura pas de deuxième chance. Si nous ne gagnons pas cette fois, c'est la fin. Ce qui arrive entre maintenant et l'année deux mille décidera comment l'homme vivra pour le prochain millénaire: ou bien libre ou bien esclave. Que Dieu nous vienne en aide si nous perdions. Que Dieu sauve l'Amérique du Nord. Mort au Nouvel Ordre Mondial.»

Les ex-militaires impliqués dans GEM STAR ont quitté les forces parce qu'ils avaient reçu des avertissements précurseurs de ce qui s'en venait et ne ils pouvaient pas supporter l'idée de se battre contre leurs propres compatriotes. Un porte-parole de GEM STAR nous a dit: «Le Gouvernement du Canada projette une confrontation avec le peuple sur cette question de l'État mondial. Ils ont maintenant vingt camps de prisonniers partout au Canada pour enfermer quiconque ne cédera ses armes à feu ou refusera l'implant électronique d'un circuit intégré, la marque de la bête. Le Nouvel Ordre Mondial est prêt. Nous devons, tour à tour, aussi être prêts et nous invitons les patriotes canadiens à entrer en contact avec nous quant à GEM STAR, pas demain, mais maintenant, parce que notre pays va avoir aussi disparu.»

Nous comprenons que le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) connaît GEM STAR et essaye de mettre le couvercle sur la marmite. Cela nous en dit long sur les organisations que nous avons mises en place pour protéger ce pays: ils semblent en effet être les outils du gouvernement mondial qui est projeté pour asservir non seulement notre pays, mais la race humaine entière.

GEM STAR projette un autre coup dans deux mois. La cible n'a pas été identifiée, bien sûr, mais la nouvelle entreprise, nous a-t-on dit, impliquera une combinaison continentale d'Américains et de Canadiens combinés avec les peuples autochtones des deux pays.

Ce qui suit est la couverture médiatique d'envergure de ces assassinats plutôt extraordinaires et simultanés d'agents du Nouvel Ordre Mondial. À la une du Toronto Star du 6 octobre 1994: «Quarante-huit personnes sont retrouvées mortes dans un jour de Jugement dernier d'une secte», par Bill Schiller:

CHEIRY, Suisse - Ce pays de la fabrication de montres et des paysages pastoraux est devenu hier le site d'un carnage troublant, un suicide massif collectif sectaire sinistrement exécuté impliquant des vêtements de cérémonies noirs, rouges et or. [Le premier réflexe de la presse a été de couvrir l'événement comme des suicides, mais elle a dû se rendre à l'évidence]. Quarante huit personnes sont mortes, beaucoup avec des balles dans la tête. Parmi elles, quatre Québécois, incluant le maire de Richelieu, un journaliste du Journal de Québec et un fonctionnaire du ministère des Finances provincial.

Un rapport dit que jusqu'à jusqu'à onze Canadiens sont morts dans le carnage. Les meurtres bizarres ont une ressemblance saisissante avec ceux survenus dans un bâtiment d'une secte au Québec. Le secte du jour du Jugement dernier a apparemment synchronisé les suicides dans deux emplacements suisses, à environ cent soixante kilomètres à part. Dans le village de Granges-sur-Salvan, au sud-est de Montreux, au moins vingt-cinq corps ont été trouvés dans trois chalets. Et ici, dans cette vallée luxuriante et tranquille connue surtout pour l'industrie laitière, au moins vingt-trois personnes sont mortes, dont l'âge varie de dix à soixante-treize ans. La police a trouvé la plupart des morts arrangés dans un cercle sur le plancher d'une voûte secrète souterraine. La police a dit: «Les têtes des victimes pointant vers l'extérieur, du sang sur le tapis.»

Sur un autel dans une de trois pièces dans lesquelles les morts ont été trouvés, il y avait les mots: «La rose et la croix», que la police croit être une société secrète vieille de plusieurs siècles avec des croyances en connaissances et pouvoir occultes.

«Des objets religieux et du matériel en relation avec la croix et la rose ont été trouvés sur le site», a dit la police.

«Nous avons premièrement été très étonnés de voir cette scène», a dit le maire de trente-cinq ans, Pierre Torchee. Regardant la scène hier matin, vers quatre heures du matin heure locale, il a dit qu'il avait «de la difficulté à tout comprendre, voyant ces gens habillés de capes rouges à l'intérieur et noir à l'extérieur. Il y avait du sang parce que les trois quarts des gens sont morts de balles à la tête.»

«Un groupe de dix-neuf a été trouvé dans une chambre sous-terraine au-dessous du garage, accessible seulement par une porte cachée sous le tapis»,a dit le maire.

Deux autres ont été trouvés dans un vestibule adjacent et ensuite une femme et l'enfant de dix ans ont été trouvés dans une pièce lumineuse apparemment tapissée d'objets de verre et de miroirs.

Johannes Aagaard, la tête d'une organisation européenne d'Aarhus surveillant les cultes, au Danemark, a dit à la Presse Associée qu'il croyait Luc Jouret était derrière et la Croix et la Rose et l'Ordre du Temple Solaire, qu'il a décrit comme «deux branches provenant du même tronc».

Jouret «a créé plusieurs groupes occultes en Suisse et au Canada dans cette catégorie d'occultisme qui est appelée les nouveaux ordres de temple, un mélange de vieilles traditions de temple avec le phénomène du nouvel âge», a dit Aagaard.»

Nous citons «Clues Point to Cult Murder» (les indices pointent vers des meurtres de secte), du Toronto Star du 7 octobre 1994.

«Il devient de plus en plus évident que le suicide massif était en réalité le meurtre massif. Au total maintenant, neuf Canadiens sont morts dans des assassinats de culte: quatre en Suisse et cinq au Québec.

Le juge André Piller a dit que ceux qui sont questionnés étaient ou bien des membres présents ou passés du culte, qui se nomme l'Ordre la Tradition Solaire en Suisse.

Piller a dit que Luc Jouret, le gourou du culte apocalyptique et copropriétaire du complexe de Morin Heights, Québec, où les cinq corps ont été trouvés, n'était pas parmi ceux qui sont détenus. Un des chalets dans Granges-Sur-Salvan, cependant, a été loué par Jouret, le meneur d'un culte appelé l'Ordre du Temple Solaire au Canada et l'Ordre de la Tradition Solaire ici. Cependant, il semble avoir disparu sans laisser sa trace.»

La raison de cette combinaison du Canada et de la Suisse est claire: argent et pouvoir. Ces hommes, aussi, semblent essayer de masquer leurs illusions mégalomanes de splendeur matérialiste sous arrivé par lui-même à une autorité spirituelle. Le rapport dans le «Sunday Tribune» de Dublin dans on édition du dimanche le 9 octobre 19 94, révèle les connexions avec Hydro-Québec, la Banque Royale du Canada, le ministère des Finances du Québec, etc.

«La police suisse a publié un mandat d'amener pour les chefs du culte, le Canadien français Joseph Di Mambro et le Belge Luc Jouret, qu'elle ne croit pas parmi les morts. Les corps de Robert Falardeau, un haut fonctionnaire dans le Ministère des Finances du Québec et la femme de Di Mambro, Jocelyne, ont été trouvés dans le chalet à Granges-sur-Salvan.

La secte devenait de plus en plus de l'aile droite et intolérante. Au Canada, elle avait infiltré Hydro-Québec, la société de pouvoir de la province. Une enquête interne de la société a constaté que dix-sept employés étaient membres de la secte. Un d'entre eux, Jean-Pierre Vinet, un vice-président, qui a été par la suite chargé de possession illégale d'arme à feu en 1993, a laissé la société. Après cela, deux des pylônes de la société ont été faits sauter.

Les infractions de port d'armes à feu, dont Jouret a été aussi accusé, étaient le résultats d'un attentat potentiel à la vie du ministre de la Sécurité publique du Québec, qui, selon la secte, avait été trop clément envers les Iroquois pendant le soulèvement mohawk de 1990. Jouret a été condamné à une amende de mille dollars pour la possession d'armes à feu semi-automatiques.

En attendant, on pense que la Gendarmerie Royale du Canada enquête Di Mambro pour le blanchiment illégal de cent millions de dollars par les branches d'Ottawa de la BCCI (Bank of Credit and Commerce International) et de la Banque Royale du Canada. Les policiers ont indiqué que l'argent faisait partie d'une opération de contrebande d'armes à grande échelle.

Mais à l'intérieur de la secte, les disputes sur les finances avaient éclaté entre Jouret en Suisse et Falardeau au Québec. En attendant, les agents de la GRC se sernent Di Mambro de près sur pour les opérations de blanchiment d'argent. Quelque part, quelque chose s'est cassée et la semaine dernière le bain de sang est survenu. Les meurtriers ont visité les victimes en Suisse et ont mis des dispositifs incendiaires qui pouvaient être déclenchés par téléphone à partir des aéroports dont ils se sont envolés.»

On note la référence aux Indiens ci-dessus et on on se rappelle d'Oka et, plus récemment, de «Davis Inle» où le drapeau canadien a été déployé à l'envers, en signal de détresse. La GRC n'a pas osé entrer, comme à Oka, parce que l'on leur avait dit qu'il y avait au moins cinq cents membres de la milice de l'Aigle royal parmi les Iroquois.

LE CHANT DU CYGNE : VERS L'AN DEUX MILLE

Le résumé suivant est basé sur «The Terrors of the Year Two Thousand», un essai extraordinaire, prophétique, écrit en 1948 par un des plus renommés philosophes du vingtièmes siècle, Etienne Gilson, le fondateur dans les années trente de l'Institut pontifical des études médiévales. L'essai a été réimprimé en 1984 par le père John Kelly, de la «University of Saint Michael's College», pour célébrer le centième anniversaire de Gilson. Pour faciliter la lecture du résumé, j'ai employé les mots de Gilson librement, ne les entourant pas toujours avec des guillemets. Cet article a été publié dans le «Aurobindo's Journal of India's Resurgence» (Pondicherry, Inde, juillet 1985).
Si nous remontons l'histoire de l'humanité, nous ne trouvons aucun bouleversement comparable à celui du vingtième siècle. L'Europe a été ravagée par les guerres sans prédécant, anéantissant brutalement deux générations avec une haine si féroce et ingénieuse dont seul l'homme est capable de concevoir pour l'homme. La science a arraché de la matière le secret de sa destruction, la fission nucléaire étant non seulement la plus intime révélation de la nature du monde physique, mais en même temps la libération de l'agent de destruction le plus puissant que l'homme ait jamais eue à sa disposition. La recherche en biologie a été poussée indépendamment de toute intention divine ou humaine et, bien que ses découvertes soient enveloppées de secret, le génie génétique semble capable de déterminer les sexes, de faire des hommes ou des femmes à volonté, de sélectionner et de produire des gens adaptés aux diverses fonctions aussi bien que les sélectionneurs le font avec des chiens ou des chevaux ou le bétail.
Dans cette nouvelle société qui est construite, de laquelle la destruction stupide est un prélude nécessaire ou un parallèle, une société qui saura comment se donner les esclaves et même les reproducteurs dont elle a besoin, qu'est_ce qui arrivera à la dignité et la liberté de la personne humaine? Dans ce contexte, comme Etienne Gilson s'est exprimé, les prophéties les plus audacieuses de H.G. Wells palissent, car dans l'Île du docteur Moreau ils travaillaient toujours pour transformer des brutes sauvages en hommes. Dans la société future rendue possible par la manipulation génétique, ce sont des hommes qu'ils transformeront en brutes pour les employer à travailler à la fin de l'humanité devenue alors indigne du nom.
La création arrogante de cette nouvelle société, parallèlement à l'annihilation de toutes les valeurs, est la simple prémisse d’une proposition plus blasphématoire: cet homme peut usurper la position dans le cosmos traditionnellement assigné à Dieu. Jusqu'à tout récemment, l'homme ne pensait rien, ne disait rien, ne faisait rien qui ne venait pas de la certitude qu’il existé un dieu ou des dieux. Mais si la totalité du passé de l'homme dépendait de la certitude de l’existence de Dieu, son avenir entier semble dépendre du contraire: que Dieu n'existe pas. L'Antéchrist, écrit Gilson, n'est pas parmi nous, il est en nous. C'est l'homme lui_même, usurpant la puissance illimitée, créatrice et procédant à la certaine suppression de ce qui est, pour purifier la voie pour la création problématique de ce que sera, l'idole monstrueuse faite de nos propres mains à notre propre image et ressemblance.
Déjà, certains des mouvements principaux dans l'art et la philosophie du vingtième siècle ont préparé le terrain. Le symboliste français Mallarmé a voulu construire un art qui aurait la valeur d'une création surnaturelle et qui serait capable de rivaliser avec le monde des choses créées au point de le supplanter totalement. Supprimer la création existante pour en créer un autre était aussi l'ambition de du surréalisme authentique que André Breton défini comme quelque chose de dictée par la pensée, hors de tout contrôle de la raison, divorcée de toutes les préoccupations esthétiques ou morales. Selon lui, l'acte surréaliste le plus simple consiste à descendre dans la rue, pistolet au poing et tirer au hasard, de toutes ses forces, dans la foule. Pourquoi pas, demande Gilson, puisque le massacre des valeurs est un pas nécessaire dans la création des valeurs qui sont vraiment nouvelles: dans ce renversement de perspectives, le bien et le mal sont interchangeables: tous les moyens sont bons, préconise Breton, quand employés pour détruire les concepts de la famille, de la patrie et de la religion.
Ainsi, libéré par l'athéisme, étant devenu un dieu sans l’avoir demandé, l’homme ne sait que faire de sa divinité, car il ne trouvent ni en lui ni hors de lui une possibilité de s'accrocher. «Ainsi, nous n'avons ni derrière nous ni devant nous. écrit Jean-Paul Sartre, aucune justification ou excuse». C'est ce que j'exprimerai en disant que l'homme est condamné à être un homme libre, sans aucun appui et sans aucun secour, condamné à chaque instant à inventer l'homme. C'est le diagnostic existentialiste de la condition de l'homme du vingtième_siècle, abandonné à lui-même, éternellement condamné, comme Sisyphe, à se créer dans l'angoisse permanente de son propre néant.
Il doit faire rouler un énorme rocher jusqu'au haut d'une colline, et, lorsque celui_ci atteint le sommet, la pierre lui échappe des mains et dévale la pente opposée.
Une nouvelle folie, cependant, saisit l'âme, une tentation d'abord, ensuite un consentement vague à quelque chose qui germe dans le tréfonds du coeur de cet être décimé, un consentement et, aussi ironique que cela puisse sembler, un désir d'esclavage, comme la démolition de la partie précédente du vingtième siècle prépare la voie à la fin pour la prolifération de cultes et de communautés, auxquel l'individu est préparé à offrir sa liberté, ou, plus crûment, vendre son âme. Avec une grandissante impatience, écrit Gilson, les hommes attendent l'arrivée du maître qui leur imposera toutes les formes d'esclavage, en commençant par le plus mauvais et le plus dégradant de tous: celui de l'esprit! Béni soit celui qui nous délivrera de nous! Seul sous un ciel dorénavant vide, l'homme offre à quiconque désir le prendre, cette liberté futile qu'il ne sait pas comment employer. Il est prêt pour tous les dictateurs, les meneurs de ces troupeaux humains qui les suivent comme des guides et qui sont finalement tous conduits par eux à la même place: l'abattoir.

IIPour contrer cette spirale vers l'abîme, Gilson préconise une proposition simple, aussi vraie maintenant qu'elle l’a toujours été: accepter un principe divin au_delà de nous, reconnaître de tous côtés, en dedans aussi bien qu’en dehors, d'une simple et même lumière qui éclaire la compréhension et règle les choses, parce que l'esprit qui se trouve en eux les reconstruit dans l'esprit selon l'ordre de la même intelligibilité créatrice. Cette harmonie d'esprit et de la matière, de la pensée et de la réalité, décrit Einstein, comme le plus incompréhensible des mystères. Cela ne stupéfie pas Gilson le philosophe, car il connaît sa source, ce même Dieu dont l'existence pure est à l'origine de toute la réalité aussi bien que de la connaissance.

L’ANTÉCHRIST ET LES ÉGLISES CHRÉTIENNES

Siobhan McKenna, actrice irlandaise, priant la Vierge en irlandais, photo de «Radio Telefis Eireann.


L’ANTÉCHRIST ET LES ÉGLISES CHRÉTIENNES

Par
Grant R. Jeffrey (Mississauga, Ontario)

Dans une révélation fascinante, l'archevêque Runcie de l'Église de l’Angleterre a dit (le 16 octobre 1989) au magazine Times qu'il avait donné un anneau spécial au Souverain Pontife. Il a expliqué que cet anneau était une bague de fiançailles entre lui et le pape Jean-Paul II comme une promesse de l'union future entre l'Église anglicane et l'Église catholique. Ces groupes oecuméniques se sont plaints souvent que le seul obstacle réel à leur union religieuse soit la résistance des conservateurs évangéliques chrétiens. Une fois ces chrétiens enlevés surnaturellement, il y aura peu de résistance d'un autre groupe à cette union proposée. En fin de compte cette fausse religion du monde impliquera une alliance des églises romaines orthodoxes, des groupes divers protestants et les groupes du Nouvel Âge. Pratiquement tous les gens religieux se joindront avec enthousiasme à cette fausse église dans cette grande alliance avec le nouveau chef politique du Nouvel Ordre Mondial: l'Antéchrist.
Le prophète Jean a vu cette future alliance satanique de la religion et de la politique symbolisé par Babylone, la mère des prostituées. Comme Jean a prophétiquement regardé par delà les siècles, il a vu ce système religieux mondial soutenant l'Antéchrist et les dix nations de son royaume dans leur monté pouvoir:
«Alors il me transporta en esprit au désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, couverte de noms blasphématoires, et qui avait sept têtes et dix cornes. La femme vêtue de pourpre et d’écarlate, étincelait d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or pleine d'abominations: les souillures de sa prostitution. Sur son front un nom était écrit, mystérieux: Babylone la grande, mère des prostituées et des abominations de la terre.» Apocalypse 17:3-5.
Notez que Jean a vu le système de la fausse religion de la fin des temps assises sur une bête écarlate. Cela indique que le système religieux sera au commencement soulevé et honoré par les alliés politiques de l'Antéchrist. Cependant, Jean révèle que ce système religieux des derniers jours sera caractérisé par l'apostasie et le blasphème. On la connaîtra pour sa richesse énorme, encore sa vraie nature secrète est indiquée par les mots du prophète: «abominations: les souillures de sa prostitution». La Bible emploie souvent des images d'infidélité sexuelle pour signifier l'apostasie spirituelle. Cette fausse église se vautrera dans la sensualité et exprimera l'esprit matérialiste de ces jours derniers. On la connaîtra comme «Babylone la grande», parce qu'elle incarnera secrètement les mystères religieux babyloniens qui ont caractérisé chaque religion et culte synthétique et depuis la rébellion de l'homme jusqu’à la Tour de Babel.

Le susdit est tiré de «Prince of Darkness: Antichrist and the New World Order» (Toronto, 1994) Grant R. Jeffrey.

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